Kenneth Hagin raconte... 

LES MANIFESTATIONS SURNATURELLES DANS MES REUNIONS

A propos de l'Auteur...

Kenneth Hagin, un des acteurs connus dans ce qu'on peut désormais appeler la "troisième vague" de l'Esprit en raison de l'impact spirituel que ce mouvement a eut sur le peuple de Dieu de cette fin de XXème siècle. On lui doit notament la redécouverte du principe de la Foi en action (Marc 11.23-24), l'ayant exercé pour lui même en 1934 lorsque, sur un lit d'hopital atteint d'une maladie incurable du sang et d'une malformation du coeur, il fut miraculeusement guérit par Dieu. Il amena beaucoup de croyants et de ministères à une compréhension plus profonde des charismes de l'Esprit en particulier les dons de révélation (celui de prophétie, la parole de sagesse et la parole de connaissance). Dans son ministère, se manifestent aussi régulièrement le don d'opérer des miracles et des manifestations encore plus spectaculaire de l'Esprit-Saint sont également parfois au rendez-vous ! Lors de ses réunions mais aussi au travers de nombreux autres ministères dans le monde Dieu nous fait içi redécouvrir Sa Puissance et sa gloire !! 

En 1939, les manifestations surnaturelles étaient quelque chose de tout nouveau pour moi. J'étais rempli du Saint-Esprit depuis moins de deux ans. Nous animions une réunion à Farmersville, au Texas, et Dieu agissait puissamment. Un soir, une jeune fille de seize ans fut baptisée du Saint-Esprit, se mit à parler en langues et entra en intercession. Les mains levées, elle resta figée sur place pendant huit heures et quarante minutes. Elle ne battait pas d'un cil et ne changea point de position. C'était en janvier et elle se trouvait loin du poêle. Sa mère, craignant qu'elle ne prenne froid, demanda s'il était possible de l'approcher de la source de chaleur au centre de la pièce. « Je ne sais pas », répondis-je. Je n'avais encore rien vu de pareil. Le pasteur, qui pesait 125 kilos, me proposa : « Frère Hagin, saisissez-la par un bras, je la prendrai par l'autre et, ensemble, nous la ferons glisser vers la chaleur ». Toutefois, il nous fut impossible de la déplacer. On aurait dit qu'elle était clouée au sol. Un autre soir, en lançant l'appel au salut, je ressentis que la puissance divine reposait sur l'une des femmes. Elle se mit à exhorter les assistants à ètre sauvés. « Soeur », lui dis-je, « allez-y, obéissez au Seigneur ». Les yeux clos, elle monta sur l'estrade, la parcourut d'une extrémité à l'autre et exhorta les inconvertis à accepter le salut. Elle se dirigea vers le bout de l'estrade, apparemment pour tomber dans le vide mais, au demier moment, elle rebroussa chemin. Les gens commençaient à s'avancer vers l'estrade. La femme gardait les yeux fermés et, chaque fois que quelqu'un s'approchait, elle le savait dans son esprit et esquissait un pas de danse pour exprimer sa joie. Ensuite, elle se remit à l'exhortation. Quand la vingtième personne s'avança - tous les incroyants furent sauvés ce soir-là (mon épouse et tous les autres assistants m'en sont témoins) - elle se mit à danser au-dessus de l'estrade entre ciel et terre. Ses pieds ne touchaient pas le sol. Tout le monde le constata. J'aurais pu étendre la main pour la toucher. Puis elle fit volte-face, et se remit à danser sur l'estrade. Elle rej oignit l'autre extrémité, s'arrêta, ouvrit les yeux et regagna sa place. Mon épouse n'était pas au courant de ce genre de manifestations. Elle était méthodiste et n'avait reçu le baptême du Saint-Esprit que deux mois auparavant. La femme du pasteur, une institutrice baptiste et son jeune frère se trouvaient à la même enseigne. Je l'ignorais, mais ils se demandaient : « Est-ce de Dieu ? » Chaque matin, nous nous réurdssions au presbytère pour prier. Le lendemain matin, alors que j'étais à genoux auprès du divan, l'Esprit de Dieu me dit : « Va poser un doigt de ta main droite sur le front de ta femme ». Il me proposa d'en faire autant pour l'épouse du pasteur et pour son jeune frère. Je me levai et m'approchai de l'endroit où ma femme était agenouillée. Je la touchai légèrement d'un seul doigt, et on aurait dit qu'on venait de la frapper d'un coup de massue. Elle fut renversée au sol. Il en fut de même pour les deux autres. « Que faire maintenant ? » me dis-je. J'ignorais ce qui allait se passer. Je revins donc m'agenouiller auprès du divan pour voir si le Seigneur avait autre chose à me dire. Au bout d'un moment, je ne suis vraiment pas sûr de sa durée, mais je crois qu'il s'agissait d'une dizaine de minutes, la Parole du Seigneur me fut adressée en ces termes : « Agenouille-toi auprès de chacun d'eux à tour de rôle. Dis-leur d'essayer de se lever, puis demande-leur s'ils reconnaissent que ce qui se passe vient de la puissance de Dieu ». Je me mis à genoux auprès de mon épouse et murmurai à son oreille ce qu'avait dit le Seigneur. Quand elle tenta de se lever, elle n'y arriva pas. Elle semblait clouée au sol. Je lui demandai alors : « Reconnais-tu que ce qui s'est passé lors de la réunion et depuis lors provient de la puissance de Dieu ? » « Oui, » répondit-elle. Je me dirigeai vers les autres. Ils me répondirent de la même façon. Rien de plus n'arriva ; donc, je regagnai le divan pour voir si le Seigneur voulait ajouter autre chose. (Le pasteur me fit savoir plus tard qu'il décida de relever sa femme à ce moment-là. Mais il n'arriva même pas à soulever le bras de son épouse, encore moins son corps Il Au bout d'un moment, le Seigneur ajouta : « Retoume auprès d'eux et touche-les du doigt. Et ils seront libres de se relever ». Je le fis, et ils purent se mettre debout. En 1950, j'animai une réunion dans une petite ville aux enlrirons de Fort Worth, au Texas. Il s'y trouvait un homme qui s'était avancé seize fois pour demander la prière de guérison. Je le vis se diriger vers l'estradc pour la dix-septième fois et me dis : « Ce pauvre homme s'avance de nouveau ». Pourtant, lorsqu'il s'arrêta devant. moi, j'étendis la main vers lui et je perçus qu'il avait la foi pour guérir. Vous est-il déjà arrivé de toucher un fil sous tension ? J'étendis la main et, pendant quelques instants, je n'y vis pas plus clair qu'une taupe. L'assemblée déclara avoir perçu des éclairs jaillir de ma main. Quatorze serviteurs de Dieu étaient assis sur l'estrade. L'un d'eux était un membre fondateur des assemblées de Dieu américaines, et il se trouvait tout près de moi. Par la suite, il me dit : « Je n'avais encore rien vu de semblable ! Vous ne l'avez pas touché. Vous vous êtes simplement approché de l'homnie, et les éclairs qui jaillissaient de votre main l'ont frappé au front. Il n'y avait personne à proximité de lui, mais on aurait dit qu'une force invisible s'était emparée de lui pour le propulser cinq mètres plus loin. Il a roulé sous le siège du premier rang en parlant en langues, et il a été guéri ». Or, cet homme avait déjà demandé la prière de guérison seize fois. Quelle était la différence ? Plus tard, le pasteur me dit ; « Je savais que le jeune homme allait recevoir sa guérison. Quand j'ai ouvert le local<~al, il était assis sur les marches à l'entrée, et il m'a dit : Pasteur, faites bien attenti(Jn ce soir. IJJrsque le frère Hagin m'imposera 1<.s méiins, je serai guéri. C'était sa foi qui s'expri1mait. Il était venu dans l'attente de recevoir ». En I97I, je prêchais à'lyler, ail l'exas. Je lançai l'appel pour la prière de guérison et unc dame, assise dans les premiers rangs, était liée par l'arthrite au point qu'elle n'arrivait pas à se lever, Son mari, aidé par des volontaires, finit par la mettre debout et plaça une canne dans sa main. On aurait dit qu'i1 lui fallait plus de dix minutes pour parcourir un ou deux mètres, malgré l'aide de soft mari, des volontaires et de la canne. En effet, pendant qu'elle s'avançait, toute la file de prière se forrJJa ! Lors de la priêre, j'avais l'impression d'imposer les mains sur une poignéc de porte. Aucune réaction : Pas un signe de vie. Je continuai à imposer les mains aux autres, puis je regagnai l'estrade pour prendre ma Bible. Cette dame se dirigea de nouveau vers moi en disant : « Je veux que vous m'imposiez les mains encore une fois ». Je lui répondis, me rappelant son insensibilité : « Je l'ai déjà fait ». « C'est la première fois que j'assiste à ce genre de réunion » me dit-elle, « je suis presbytérienne. Mais ma voisine souffrait d'arthrite et je l'ai vue descendre la rue à pied aujourd'hui. Toute trace de maladie avait disparu. J'ai demandé à mon mari d'inviter cette dame à me rendre visite. « Elle est venue chez moi et je lui ai demandé ce qui lui était arrivé. Je pensai qu'elle avait découvert un nouveau médicament. « Elle me répondit : Il y a un ancien prédicateur baptiste qui impose les mains aux gens. Il a prié pour moi, il y a deux jours, et j'ai été guérie instantanément. Donc, j'ai dit à mon mari : Il faut que tu m'amènes à la réunion ce soir f « C'est tout nouveau pour nous. En plus de l'arthrite, je porte un appareil acoustique sans lequel je ne pourrais même pas entendre le tonnerre. J'ai des problèmes cardiaques et rénaux et je souffre de tension artérielle ». « J'ai l'impression qu'une révision totale s'impose », répliquai-je. Elle poursuivit : « Je me suis avancée, il y a un instant, pour vous mettre à l'épreuve, pour évaluer votre capacité <'>il était assis sur les marches à l'entrée, et il m'a dit :

Pasteur, faites bien attention ce soir. Lorsque le frère Hagin m'imposera 1es mains, je serai guéri. C'était sa foi qui s'exprimait. Il était venu dans l'attente de recevoir ».

En I97I, je prêchais à Tyler, au Texas. Je lançai l'appel pour la prière de guérison et unc dame, assise dans les premiers rangs, était liée par l'arthrite au point qu'elle n'arrivait pas à se lever, Son mari, aidé par des volontaires, finit par la mettre debout et plaça une canne dans sa main. On aurait dit qu'il lui fallait plus de dix minutes pour parcourir un ou deux mètres, malgré l'aide de son mari, des volontaires et de la canne. En effet, pendant qu'elle s'avançait, toute la file de prière se forma !

Lors de la priêre, j'avais l'impression d'imposer les mains sur une poignée de porte. Aucune réaction : Pas un signe de vie. Je continuai à imposer les mains aux autres, puis je regagnai l'estrade pour prendre ma Bible.

Cette dame se dirigea de nouveau vers moi en disant : « Je veux que vous m'imposiez les mains encore une fois ». Je lui répondis, me rappelant son insensibilité : « Je l'ai déjà fait ».

« C'est la première fois que j'assiste à ce genre de réunion » me dit-elle, « je suis presbytérienne. Mais ma voisine souffrait d'arthrite et je l'ai vue descendre la rue à pied aujourd'hui. Toute trace de maladie avait disparu. J'ai demandé à mon mari d'inviter cette dame à me rendre visite.

« Elle est venue chez moi et je lui ai demandé ce qui lui était arrivé. Je pensai qu'elle avait découvert un nouveau médicament.

« Elle me répondit : Il y a un ancien prédicateur baptiste qui impose les mains aux gens. Il a prié pour moi, il y a deux jours, et j'ai été guérie instantanément. Donc, j'ai dit à mon mari : Il faut que tu m'amènes à la réunion ce soir ! « C'est tout nouveau pour nous. En plus de l'arthrite, je porte un appareil acoustique sans lequel je ne pourrais même pas entendre le tonnerre. J'ai des problèmes cardiaques et rénaux et je souffre de tension artérielle ».

« J'ai l'impression qu'une révision totale s'impose », répliquai-je.

Elle poursuivit : « Je me suis avancée, il y a un instant, pour vous mettre à l'épreuve, pour évaluer votre capacité.»

- « Vous avez bien vu ce que je peux faire, 'n'est-ce pas ? » - « Rien ! Mais », ajouta-t--elle, « je vous ai entendu dire que, si nous croyons en votre onction, nous recevrons la même onction pour être guéris ». Je leur avais raconté comment Jésus m'était apparu en 1950 lors d'une réunion sous chapiteau à Rockwell, au Texas, et qu'il m'avait dit : « Approchons du trône de Dieu !» Nous étions montés et nous nous étions tenus devant le trône de Dieu. Le Seigneur avait posé un doigt de sa main droite sur chacune de mes mains, puis il avait placé sa main sur ma tête en disant : « Je t'ai oint, je t'ai appelé et je t'ai revêtu d'une onction particulière pour guérir les malades ». Lorsqu'il avait posé sa main sur les miennes, j'avais ressenti une brûlure comme si je tenais des charbons ardents. « Je suis prête à le croire », me répondit-elle. Je perçus que c'était vrai. J'étendis la main et effleurai à peine son front. La puissance de Dieu la traversa et elle tomba à la renverse. Elle resta allongée sur le sol pendant quelque temps. Son mari vint se pencher sur elle, commença à l'éventer avec son chapeau et à lui tapoter la joue en disant : « Maman, Maman, Maman, Maman, Maman, Maman ... ». De toute évidence, il s'inquiétait. Il croyait qu'elle s'était évanouie. Je lui dis : « Frère, elle va bien. Arrêtez ! Il ne lui est rien arrivé de mauvais. C'est simplement la puissance de Dieu qui agit en elle ». - « Vraiment ? » - « Oui, tout à fait ! ». Il recommença à l'éventer et à lui tapoter la joue en disant : « Maman, Maman, Maman, Maman ... ». Je répétai : « Frère, arrêtez, arrêtez ! » Il cessa de le faire et leva les yeux vers moi. Je lui expliquai : « Il ne lui est rien arrivé de mal. Elle ne s'est pas évanouie. Elle n'a pas perdu connaissance. Elle est tombée sous la puissance de Dieu, c'est tout. Si elle y ajoute sa foi, son corps sera guéri ». ~ « Vraiment ? » - « Absolument ! » Il se remit à l'éventer et à lui tapoter les joues en disant : « Maman, Maman, Maman ... ». Alors, je lui dis : « Frère, relevez-vous t Au nom de Jésus, je vous ordonne de vous lever et de vous retirer ». Il se mit debout en déclarant : « Puisque vous le dites, d'accord, mais je n'en ai pas envie ». Je poursuivis : « Tenez-vous là et regardez ! » Il s'inquiétait vraiment, et je comprenais son angoisse. Un peu plus tard, elle se mit à bouger et il accourut pour l'aider. Une femme la soutint, l'aida à se lever et son mari lui tendil la canne. « Ne vois-tu pas que tout va bien 1? » lui demanda-t-clle. Toute trace d'arthrite avait dispéiru. Ses premières paroles en se redrcssant furent : « Gloire à Dieu ! Loué soit le Seigneur !» Plus d'arthrite ! Elle retira son appareil acoustique, elle entendait parfaitement. Elle assista aux autres réunions pour témoigner de son rétablissement total. A vrai dire, elle avait rajeuni de quinze ans. Alors que je prêchais à l'assemblée « Christ pour les Nations », je lançai un appel à la prière pour la guérison. Je faisais l'imposition des mains aux malades quand je vis la nuée de gloire arriver et les envelopper. Je remontai sur l'estrade, près de la chaire, et remarquai que tous avaient les yeux fermés. La nuée avançait, j'agitais tout simplement la main et tous tombaient comme des dominos. Cela m'est arrivé à plusieurs reprises. Quelle soirée ! Par exemple : Mon gendre Buddy Harrison, qui aidait à retenir les gens, se trouva pris dans cette nuée. Je m'en éloignais assez souvent ; sinon, je serais tombé comme les autres. Mais Buddy ne savait rien de tout cela et il tomba sur les genoux de quelqu'un. Le seul moyen de s'en sortir était de se rouler par terre et de ramper hors de la nuée. En bordure de la nuée, il était possible de se tenir debout. Un autre jour, je prêchais à Pasadéna quand la nuée se mit à flotter sur l'assemblée. Je faisais l'imposition des mains et je m'écartai de la nuée, car j'étais sur le point de tomber. Mon ami, frère Goodvin, se tenait à mes côtés et je posai la main sur lui pour retrouver l'équilibre- A cet instant, on aurait dit que quelque chose s'emparait de lui, le jetait sous un siège du premier rang et l'envoyait sous l'estrade. Comme Ezéchiel, nous goûtions à la gloire du Seigneur. Ma femme et moi assistions à une rèunion à Houston. L'épouse d'un pasteur avait subi deux interventions chirurgicales parce qu'elle souffrait d'un cancer. Lors de la troisième intervention, le cancer avait atteint tous les organes de son corps. Les docteurs avaient déclaré qu'elle mourrait en trois mois. Le pasteur nous dit : « Un soir, je l'amènerai à la réunion ». Elle était grabataire et il restait à la maison pour prendre soin d'elle. Il n'assurait plus son pastorat car il passait tout son temps à s'occuper de sa femme. Il la fit sortir du lit et l'amena à la réunion ; il dut quasiment la porter. Lorsque ma femme et moi aperçûmes cette image de la mort, elle nous inspira une grande compassion. Je lui imposai les mains et la puissance de Dieu la traversa, la précipitant, dos au sol. Son mari la ramena à l'hôpital et me dit : « Cette fois, j'avais la certitude que c'était la volonté de Dieu qu'elle rentre à l'hôpital. Tous les examens possibles furent pratiqués sans déceler la moindre trace de cancer. Tout avait disparu ». Cela se déroula en 1971. Aujourd'hui, ils sont tous deux pasteurs d'une église du Plein Evangile au sud du Texas. Un autre jour, je me trouvais à Phoenix, dans l'Arizona, pour animer une convention de Foi d'une semaine. Un officier à la retraite, alcoolique, vint me voir. Il était passé, en vain. par trois hôpitaux militaires différents pour suivre une cure de désintoxication. Il buvait toujours. Il s'engagea dans les affaires, mais sa famille dut le remplacer quand il décida de se faire hospitaliser successivement dans trois établissements privés. Il n'arrêta pas de boire. Il avait été élevé dans une assemblée appartenant à une confession. Il me dit par la suite : « Quand vous vous êtes mis à imposer les mains aux malades, j'avais envie de partir. Je n'avais jamais vu une chose semblable, mais j'avais désespérément besoin d'aide ». Il décida de s'avancer pour la prière en se disant qu'il ne tomberait pas. Quelques instants plus tard, il se relevait du sol. Lors d'une réunion qui s'est tenue un an plus tard, il a rendu témoignage : « Deux choses se sont passées : premièrement, quand la puissance Divine est descendue sur moi, je suis tombé à terre. Jamais auparavant je n'étais entré en contact avec Dieu de cette façon. Il devint plus réel pour moi. Deuxièmement, la puissance a chassé le démon d'alcool de mon corps. Depuis lors, je n'ai plus bu une seule goutte d'alcool. Je n'en ai plus envie ». Sa famille confirme ce témoignage. Nombreux sont les alcooliques qui m'ont fait. des récits semblables. Je me souviens de l'un d'eux qui vint vers moi après la prière. Quelqu'un l'avait laissé entrer dans la salle. Ce qui est étrange, c'est qu'il n'avait vu personne tomber sous la puissance, car la réunion avait déjà pris fin. Une personne qui avait assisté à la séance lui avait adressé la parole dehors et cet homme dit qu'il désirait être déliwé. En effet, il était déjà à moitié ivre. Celui qui le fit entrer me dit : « Frère Hagin, je vois bien qu'il a bu. Si je n'étais pas convaincu de sa sincérité et de son désir d'être aidé, je ne l'aurais pas amené ». Je lui dis : « Ce gars a bu. Djeu va-t-il l'aider ? » Mais le Seigneur m'ordonna de lui imposer les mains. Il n'avait jamais encore vu quelqu'un tomber sous la puissance. Il n'avait jamais assisté à une réunion où ce genre de phénoméne s'était produit. Je m contentait d'appuyer ma main sur son front. On aurait dit qu'une force invisible s'emparai de lui et le propulsait à cinq Inètres sous les sièges de la première rangée. Il fut instantanément. dégrisé. Je vous le dis, nous avons tendance à sous-estimer la puissance de Dieu !

A l'heure actuelle, les ministères Kenneth Hagin ont une envergure mondiale. Ses émissions radiophoniques se captent d'un côté à l'autre des Etats-Unis et atteignent plus de 80 nations. Auteur de nombreux livres sur la Foi et les dons de l'Esprit, il publie également un mensuel gratuit, organise des campagnes de foi dans tout son pays. Il a également ouvert un centre de formation Biblique RHEMA.

Extrait de "Why do People fall under the power"/ french  Editions Victoire centre Chrétien B.P 357 F-06006 Nice Cedex paru en 1983 en anglais et en 1991 en français